Interrogé sur les sanctions prévues envers les concessionnaires automobiles qui ne se soumettraient pas è l'obligation d'installer une activité industrielle dans un délai de trois ans tel que prévu par le projet de loi de finances 2014, M. Djoudi a expliqué, de prime abord, que lorsqu'il y a un marché aussi important que l'Algérie, les concessionnaires devraient être ''un levier è l'investissement''.
Ainsi, après les trois années d'activités du concessionnaire, il y aura un contrôle par les services compétents du ministère chargé de l'investissement pour vérifier si l'investissement a été effectivement lancé et réalisé dans les délais, a-t-il avancé.
''Les concessionnaires qui ne respecteront pas cette obligation auront è connaître un certain nombre de sanctions qui seront définies par un texte élaboré par tous les services qui auront matière è pouvoir contrôler et sanctionner'', a prévenu le ministre.
M. Djoudi a estimé que les concessionnaires se trouvent dans un contexte d'investissement favorable dans le secteur des véhicules et activités industrielles connexes, qui va se traduire par des entrées en production, è partir de 2014, de Renault Algérie Production (RAP), le complexe moteurs tracteurs de Constantine et d'autres investissements qui participent au développement de la sous-traitance, è la mise è niveau de l'économie et è répondre è la demande locale.
Saîd Lacète/ Dépêche
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