Salon d\'Alger-2011 : Le Président de l\'Ac2a fait le point

Au cours du traditionnel point de presse qui précède l'ouverture du salon international de l'automobile d'Alger, le Président de l'association des concessionnaires automobiles d'Algérie (Ac2a) a confirmé sa  satisfaction de voir le salon d'Alger s'améliorer d'année en année. Abandonnant l'aspect foire ayant prévalu a un moment donné. Mr Bairi d'ajouter qu'un salon est la réponse des constructeurs aux attentes du marché et de la clientèle. L'espace total d'exposition est de 26.906 m2 contre 25.000 lors de la précédente édition. 29 participants contre 27 précédemment, 2 sociétés de Tuning, 3 compagnies d'assurance et 6 organes de presse.  Le conférencier a soutenu que le salon apporte son lot de nouveautés en terme de modèles mais aussi en matière de technologies, comme cela se fait de l'autre coté de la méditerranée. Des promotions sont également prévue afin de réponde aux attente des visiteurs.  Le représentant des concessionnaires  a par ailleurs mentionné qu'il n'est pas  nécessaire de revenir sur le contexte  dans lesquelles se trouve le marché. Ceci pour expliquer que le souci de l'Ac2A demeure l'allégement des circuits d'importation des véhicules et de la pièce de rechange. Selon les chiffres de l'Association des banques et établissements financiers, 25,7% des véhicules de particuliers ont été financés è crédit. Aujourd'hui, le parc automobile c'est cinq millions d'unités dont 25 % sont concentrés è Alger. Plus de 55% des véhicules ont plus de 20 ans d'âge. Mohamed Bairi a en outre rappelé que le service après-vente dont sont dotés les concessionnaires automobiles en Algérie est  un marché évalué è deux milliards de dollars. Une donnée fort intéressante,  avancée  è l'occasion d'une journée «d'étude et d'information sur la pièce de rechange automobile» organisée par la Direction de la concurrence et des prix de la wilaya d'Alger, en collaboration avec l'Ac2A. Elle s'ajoute è une foule de chiffres sur l'évolution du secteur de la pièce de rechange de manière générale.  Un Algérien consacre environ 230 Dollars è l'entretien de sa voiture par an. En ce qui concerne  l'industrie automobile « et qui demeure légitimement la préoccupation du gouvernement » Mr Bairi a rappelé que  l'Algérie  possède une histoire avec l'industrie automobile. Renault était déjè présent durant les années 1960 et la SNVI continue de fabriquer des véhicules industriels. « Nous avons un tissu industriel de PME.PMI publiques et privés qui est lè, aussi modeste qu'il soit. Il ne faut pas le négliger. C'est tout ce que l'Algérie possède come point de départ pour la mise en place d'un tissu de sous-traitance »  Le conférencier a aussi soutenu que l'Ac2A peut aussi faire appel aux sous traitants et équipementiers mondiaux pour des partenariats avec leur homologation Algérienne. Cela permettra de transférer le savoir- faire et de démarrer l'exportation vers d'autres pays. « Ce que nous proposons aux pouvoirs publics, c'est d'être un des partenaires. Il faut que tout cela soit débattu autour d'une table ronde avec tous les intervenants. Les constructeurs que nous représentons maitrisent parfaitement ce processus industriel et nous sommes capables d'aller d'une manière frontale vers l'industrie automobile » a-t-il conclu.

 

 

Lancement BAIC

ESSAIS / تجارب

Essais dynamiques du nouveau Mazda BT-50 à Bousaada Une nouvelle génération pour de nouvelles conquêtes

De notre envoyé spécial à BOusaada, SAID LACETEC’est à Bousaada, ville chère à Nacereddine DInet, et...

Webdesign iX Services